L'air me casse les pieds parce qu'il sent ton odeur
Les murs semblent avoir gardé ton ombre
Mes lèvres ont gardé le gout des tiennes
Et mes mains ont gardé le souvenir de ta peau
Malgré que ma langue ait gouté à mes larmes
Et que mon coeur ait mal, touché par une lame
Mon âme n'a plus aucune sensation
Engourdie par la peine que tu m'as infligé
Pourquoi m'as tu abandonné pour ta routine
Pourquoi retournes tu là ou tu n'es pas bien
Je sais que tu dois fermer la boucle
Mais dois-je me contenter de souhaiter ne pas en crever?
J'ai vécu beaucoup de frissons avec toi
Et les moments de bonheur je les comptes même pas
Je comprend trop bien ta situation
Mais ne pas pouvoir te toucher c'est comme une punition
Mes seins continueront de bruler leur envie de ta bouche
Et mes fesses continueront de balancer le manque de tes mains
Une chanson par-çi, un désir par-là
Mes rêves seront encore et encore remplis de toi
Ami, oui nous pourrons être, j'en suis certaine
Tu es un être extraordinaire et ce malgré tout
Mais t'aider je sais pas si je pourrai
Parce que mentir je ne suis pas bonne à ce jeu
Je ne pourrai jamais t'avouer qu'une chose
C'est que je t'aime et que je respire la vie en toi
Comme une bouffée d'air l'hiver quand tout sent la pureté
Et que malgré tout.. il me reste qu'à espérer..
dimanche 7 octobre 2007
Le conte de la maitresse solitaire
Publié par
Les petites vites
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